La mode est au rouge sang – Valérie Stivers

dimanche 16 septembre 2012


La mode est au rouge sang de Valerie Stivers
316 pages, édition Fleuve Noir

Kate Mc Alliston vient d’être embauchée comme stagiaire à la rédaction du prestigieux magazine Tasty, référence en matière de mode, capable de faire et défaire la tendance en deux ou trois phrase bien senties. Ses dirigeants – d’une minceur vertigineuse et d’une pâleur mortellement chic – font couler beaucoup d’encre et certains vont jusqu’à les surnommer les vampires de la mode. Du second degré bien sûr ! Quoique… Force est de constater que, malgré la vue imprenable sur Manhattan, personne ne remonte jamais les stores, qu’un breuvage rouge foncé a remplacé le café, que l’ail est tout bonnement interdit à la cantine, et que certains dissimulent de longues boîtes en bois dans leurs bureaux… Bientôt, un premier cadavre est retrouvé, celui d’un petit chien portant une trace de morsure cachée sous son collier. Et ce n’est que le début ! Kate doit rapidement trouver un échappatoire si elle ne veut pas que son stage se prolonge… éternellement !

Ca fait un petit moment déjà que j’ai lu ce livre et je n’en garde aucun souvenir qui m’ait particulièrement marqué, ça a juste été pour moi un livre passe-temps sans ancrage particulier.

Le style de l’auteur : Très très simple. Pas de marques particulières pas de distinctifs particuliers, simplement un auteur qui pose sur papier une histoire qui ne m’a pas touché du tout. On a simplement l’impression d’être spectateur d’évènements, l’auteur ne cherche pas à nous toucher à nous transporter et c’est dommage.

Pour l’histoire : Oui ! Kate est enfin entrée dans les entrailles des magazines Tasty … Mais à quel prix ? Elle sent que quelque chose cloche dans les coulisses de ce magazines … Les créatures surnaturelles existent-elles vraiment alors ?

Pour les personnages : Le flop. Vraiment aucun personnages creusés, j’ai été déçue de leurs superficialité, du manque presque d’investissement de l’auteur. Aucune accroche … Dommage. L’histoire ” d’amour ” moi qui adore ça a été bâclée. Ce qui sauve un peu le personnage de Kate c’est que nous pouvons facilement nous identifier à elle.

Pour résumé : Oui le Chick-Lit est un style léger. Je ne le retrouve que très peu. De même que le Bit-Lit… hop un vampire et sa y est c’est classé en Bit-Lit ! Je trouve que non ici. Le passage rapide de l’histoire, le manque de précision et de création pour son histoire ne peux pas faire entrer ce bouquin dans Bit-Lit. Malgré tout, c’est une belle association – mode et surnaturel – mais le point positif s’arrête là !

Note Globale : 7/20

0 missives écrites:

Enregistrer un commentaire

Un petit message pour un petit Bourriquet ?

Blog contents © Lira bien qui lira le dernier. 2010. Blogger Theme by Nymphont.